Happy 10 year anniversary my love
Good to see everyone is as dumb as they were in 2009!
Some things never change …. & I hope the way you feel about me is one of them . You’re truly.
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FIL DES STARS Toute l’actu People est dans « 20 Minutes »
La hache de guerre serait bel et bien définitivement enterrée entre Katy Perry et Taylor Swift. La preuve ? L’interprète de Roar a posté mardi sur Instagram un texte simple : « Soyons amies ». Il était accompagné de la photo d’une assiette de cookies au chocolat avec deux signes de la paix et les mots « La paix, à la fin » en glaçage rouge.
Katy Perry a ensuite ajouté « Ça fait du bien @taylorswift », ce à quoi la principale intéressée a ajouté 13 cœurs, soit son nombre fétiche. Il n’en fallait pas plus pour les fans, comme l’a relevé USA Today, pour envisager une collaboration musicale entre les deux artistes.
Tout va très bien entre Miley Cyrus et Liam Hemsworth, qui célèbrent leurs 10 ans ensemble cette semaine. Le couple s’est rencontré en 2009 sur le tournage de La dernière chanson et s’est officiellement séparé une fois, en 2013. Seulement, d’après les tabloïds, les ruptures seraient bien plus nombreuses. L’interprète de Malibu a décidé d’en rire pour fêter sa décennie d’amour avec celui qui est devenu son mari.
« Joyeux 10e anniversaire mon amour. Toujours cool de voir que les gens sont aussi bêtes qu’en 2009. Certaines choses ne changent jamais. Et j’espère que ce que tu ressens pour moi en fait partie. Bien à toi », a-t-elle écrit en légende d’un post sur lequel on peut voir un article de Gossip Cop.
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ART Avec Tout sur le rouge, Elise Thiébaut explore le tabou des règles au théâtre. Avant elle, quelques rares artistes s’y sont frottés
C’est une première du genre : depuis le 27 novembre se joue à la Manufacture des Abbesses, à Paris, une pièce de théâtre entièrement consacrée au sujet des menstruations. Du jamais vu, selon l’autrice de ce texte et spécialiste du sujet, Elise Thiébaut, qui a aussi écrit une « petite histoire des règles », Ceci est mon sang. L’occasion de revenir sur les artistes qui s’y sont intéressés, ou plutôt intéressées puisqu’il s’agit essentiellement de femmes. La liste est non-exhaustive, bien entendu…
C’est dans les années 1970 qu’on trouve, selon Emilie Bouvard, directrice scientifique de la Fondation Giacometti et autrice d’un article scientifique sur la présence de règles chez les artistes, les premières traces de sang menstruel dans l’art. Aux Etats-Unis, Judy Chicago qui a co-fondé la Womanhouse, un espace d’expérimentations artistiques féministes, porte comme un étendard son Red Flag, une lithographie où l’on voit une femme retirer un tampon, tandis qu’en Europe, Valie Export filme sa miction, un mélange de sang et d’urine.
C’est à un autre genre de mélange que l’italienne Gina Pane fera référence, dans une performance intitulée « Action Autoportrait(s) : mise en condition/contraction/rejet », réalisée en janvier 1973. Dans une pièce où est exposée une semaine de son sang menstruel, on la voit d’abord s’étendre sur un lit métallique surplombant des bougies ; puis s’inciser la lèvre inférieure et le bord des ongles avec une lame de rasoir ; enfin gargariser du lait, qu’elle régurgite dans un mélange de sang et de liquide blanc… « C’est un œuvre sur l’aliénation des femmes, elle incarne une position de femme en souffrance » commente Emilie Bouvard.
On trouve assez peu d’œuvres faisant référence au sang des règles dans les années 1980, peut-être à cause de l’épidémie de VIH, mais aussi surtout, selon Emilie Bouvard, parce que dans ces années le féminisme décroît. Il faut attendre les années 1990 pour voir apparaître les traînées rouges de Kiki Smith, ou la serviette hygiénique gisant dans une chambre en désordre de Tracey Emin, une artiste britannique, dans My Bed. Une œuvre vendue près de 3 millions d’euros, et qui fait écho au drap de lit souillé du couple d’artistes Christian Boltanski et Annette Messager, exposé trois ans plus tôt au château de Rochechouart.
Ces dernières années, de nombreuses artistes ont participé à mettre le sujet des règles sur la table et dans le débat public. Celle qui entraîna dans sa suite une foule de journalistes à s’intéresser à ce sujet est sans nul doute Marianne Rosenstiehl. Fin 2014, elle expose au Petit espace des clichés tout en métaphore comme cette armée de soldats remontant la cuisse d’une femme, à l’image de l’expression utilisée en Russie pour désigner les règles (« Voilà l’armée rouge ! »). Ou ces femmes qui traversent les champs pendant leurs règles pour éradiquer chenilles, limaces ou sauterelles, comme ce fut la tradition en Anjou.
D’autres artistes, explique Elise Thiébaut, ont pointé leur objectif sur le sang des femmes, comme la poétesse indienne Rupi Kaur, le franco-américain Victor D’allant (un homme, enfin !), l’américaine Nolwen Cifuentes ou encore la française Maël Baussand, avec sa série Dentelles, réalisée entre 2010 et 2015 : « On y voit émerger une forme de beauté qu’on n’attend pas forcément sur des tampons… » commente l’artiste dans l’excellent épisode de la série LSD de France Culture consacré aux « règles de l’art menstruel. »
Et voilà que le portrait de la Femen Sarah Constantin, prise par l’artiste Bettina Rheims, s’est recouvert de deux longues traces de sang. L’autrice de cette attaque est connue pour réinterpréter les œuvres à sa manière : il s’agit de Deborah de Robertis, qui avait déjà par exemple écarté les jambes en 2014 et posé sexe à nu devant le tableau de Courbet, L’Origine du monde, au musée d’Orsay. Une façon de lui redonner ses couleurs révolutionnaires…
« Je me propose de rétablir le caractère politique des images que vous avez désincarnées et donc dépolitisées au profit d’images consensuelles (…) L’art ne devrait pas simplement se dire politique et se complaire dans l’esthétisme, mais éveiller les consciences », écrit Deborah De Robertis dans la description d’une vidéo adressée à sa consœur artiste. Une critique en forme de machette…
Moins connue, la démarche de Laeticia Bourget n’en est pas moins intéressante, aussi parce que c’est l’une des rares artistes, comme Paola Daniele, à se servir du sang menstruel dans la durée, de manière répétée, sur plusieurs années. Habituée à se débrouiller, faute de moyens, avec les matériaux qui l’environnent, sans forcément les « acheter », l’artiste s’est mise à peindre avec son sang menstruel à partir de la fin des années 1990. A la manière de l’ Arte povera, qui utilise des « produits pauvres ». Une façon aussi, dit-elle à 20 Minutes, de transformer ce moment douloureux en « opportunité d’explorer » : « C’est une stratégie de vie, nous ne sommes pas obligés de voir négativement nos expériences… »
Sur des mouchoirs s’étalent des formes géométriques, plus tard des portraits et des peintures vibratoires, aux motifs organiques. Et de commenter : « Le sang c’est une matière magique, dont on ne se lasse jamais de découvrir les variations »
Mais attention à ne pas être leurré par l’effet d’accumulation de cet article : les démarches de ces artistes sont très différentes, prévient Emilie Bouvard. Et les initiatives sont rares, et parfois entravées : l’artiste Joana Vasconcelos s’est par exemple vue refuser les portes du château de Versailles en 2012, pour son œuvre La fiancée. Constituée de 25.000 tampons, elle fut jugée trop « sexuelle » par l’établissement. Même si le tabou « se craquelle », il reste compliqué d’aborder les menstruations, estime Elise Thiébaut : « Avec le sang de la guerre, des films d’horreur, on n’a pas de problème. Mais une goutte de sang menstruel dans une pub et le monde est terrorisé… »
BD La première collaboration des deux stars du 9e Art que sont Alain Ayroles et Juanjo Guarnido s’impose lentement mais naturellement comme « la BD de l’année »
Associez l’un des plus brillants scénaristes à l’un des plus époustouflants dessinateurs du moment et vous obtiendrez… un chef-d’œuvre ? Les Indes fourbes, écrit par Alain Ayroles (l’auteur de la série à succès De cape et de crocs) et mis en images par Juanjo Guarnido (dessinateur de Blacksad), n’en est vraiment pas loin !
Pour preuve, ce volumineux récit complet – il compte 160 pages – totalise déjà près de 10.000 exemplaires vendus alors qu’il n’est sorti que fin août 2019. Et il vient de recevoir le Prix Landerneau BD, lancé par les Espaces Culturels E.Leclerc. À 20 Minutes, on parie qu’il récoltera bientôt d’autres récompenses. On vous explique pourquoi…
Première « grande » distinction de la rentrée BD, Le Prix Landerneau BD a pour vocation de récompenser « un album francophone paru depuis le début de l’année, dont le sujet, le style et le dessin sont à même de rassembler un large public autour d’un univers singulier ». Mais c’est surtout un indicateur du meilleur de la production BD de l’année en cours, et nul doute qu’à ce titre, il influence les jurys qui lui succèdent. Or son lauréat 2019, Les Indes fourbes d’Ayroles et Guarnido, concourt justement pour le Prix BD Fnac France Inter 2020 (qui sera décerné le 9 janvier 2020) et dans la sélection officielle du prochain Festival International de la BD d’Angoulême (30 janvier au 2 février 2020).
Alors même si on ne peut pas affirmer qu’il récoltera à coup sûr ces deux récompenses – et peut-être d’autres –, on imagine que le fait qu’il vienne d’être sacré mette la puce à l’oreille des jurys qui le confrontent actuellement à ses « concurrents » directs. Et comme on parle d’un album en tous points exceptionnel, on peut supposer que ça joue vraiment en sa faveur…
En quoi Les Indes fourbes est-il un album exceptionnel ? D’abord parce qu’il combine les talents de deux des auteurs les plus créatifs de ce début de siècle : l’écriture experte et la science des dialogues d’Alain Ayroles qui, avec sa série De cape et de crocs, s’est imposé comme l’une des plus fines plumes de la BD francophone ; et le dessin hypermaîtrisé de l’Espagnol Juanjo Guarnido, qui a fourbi ses pinceaux sur l’incroyable série anthropomorphique Blacksad, l’un des plus gros succès éditoriaux de ces dernières années. Entre ces deux-là s’est manifestement produit une alchimie, en tout cas « quelque chose d’artistiquement unique, presque une osmose, confie Alain Ayroles à 20 Minutes. Je crois sincèrement que notre collaboration va bien au-delà d’une simple addition de compétences. Et pour ne rien gâcher, on a bâti une relation humaine très forte ».
Ensuite parce que leur récit est captivant : s’inspirant du roman de Francisco de Quevedo El Buscón, ils y imaginent une suite à l’histoire de ce célèbre gueux qui quitta l’Espagne pour embarquer vers le Nouveau Monde en quête de la mythique cité d’Eldorado. Au programme, Aventure, exotisme, humour et un tas d’autres ingrédients savamment saupoudrés au gré de ces 145 planches. Qu’on apprécie le médium bande dessinée ou pas, il est impossible de ne pas succomber au charme de ce conte d’hier pour lecteurs d’aujourd’hui.
Après avoir connu, dans les quelques jours qui ont suivi sa sortie, un succès critique quasi unanime, Les Indes fourbes a d’ailleurs immédiatement rencontré son public. Alain Ayroles s’en réjouit : « L’album marche en effet très très bien en librairie, donc on est très heureux. Personnellement, je suis comblé parce que plusieurs lecteurs m’ont confié que cette lecture leur avait » fait du bien « . C’est un peu surprenant parce qu’il s’agit d’une histoire teintée d’humour et d’aventure, mais au fond assez sombre. Ce doit être parce que ça reste une aventure ponctuée de voyages, dont certains sont très exotiques, et que ça procure un sentiment d’évasion. Notre ambition, c’était de produire une vraie œuvre d’auteur mais qui soit » grand public « … on y est peut-être parvenu ? »
Ceci précisé, ce succès ne doit rien au hasard. Il est même le fruit d’une très longue gestation, comme le souligne Alain Ayroles : « les premières notes de l’album ont été rédigées il y a déjà dix ans. Le scénario a été remanié en profondeur plusieurs fois et Juanjo s’est réellement mis au dessin il y a quatre ans ». Cette lente maturation a permis aux auteurs d’esquiver les écueils les plus courants et de produire une œuvre frôlant la perfection narrative et graphique. Rien de moins (comment ça, on n’est pas très objectifs ?).
Le livre, qui ne devait compter au départ que 80 pages, en totalise du coup 160 car « mais le temps passant, le scénario s’est naturellement étoffé, nos ambitions ont gonflé, et voilà le résultat : un album un peu hors-norme dans son format et sa pagination dont Juanjo et moi sommes extrêmement fiers ». Fiers, Ayroles et Guarnido le sont aussi d’avoir reçu le Prix Landerneau BD : « ça va mécaniquement donner une plus grande visibilité au livre puisque les Espaces Culturels Leclerc s’engagent à en faire la promotion. On parle donc bien, dans ce cas précis, d’impact à venir sur les ventes.
Concernant la présence de l’album dans les sélections du Prix BD Fnac France Inter 2020 du prochain Festival International de la BD d’Angoulême et ses chances d’y être distingué, Alain Ayroles fait le distinguo : « Ces Prix relèvent davantage du prestige, mais ils ont, d’une certaine manière, autant de valeur. Parce que c’est toujours un honneur et un plaisir pour des auteurs de BD, une discipline qui exige minutie et impose une certaine solitude au long cours, de voir officiellement reconnaître leur travail, à plus forte raison lorsque le jury est composé de pairs ».
Nous, on miserait bien un billet sur de nouveaux sacres. D’abord parce qu’on a a-do-ré ces Indes fourbes dont les qualités vous hypnotisent de la première à la dernière case et qui réserve un twist final absolument bluffant ; ensuite parce qu’il nous semble qu’en s’appuyant sur les fondamentaux du 9e Art – une bonne histoire, un beau dessin –, cette BD compte parmi les meilleures jamais produites dans le genre franco-belge.
Pour autant, Alain Ayroles refuse de s’emballer et craindrait même une carrière à la The Artist, le film de Michel Hazanavicius qui a récolté, en 2011, l’ l’essentiel des récompenses qu’on peut décerner à un film : « Au bout du compte, est-ce que ça a servi ou desservi son réalisateur ? C’est sûr que si Les Indes fourbes obtenait trop de prix, les gens, à un moment donné, soupçonneraient une arnaque (rires). Plus sérieusement, ça pourrait en agacer certains, j’imagine. Mais on n’en est pas là de toute façon ». Ah non ? On parie ?
« Les Indes fourbes », par Alain Ayroles & Juanjo Guarnido – éditions Delcourt – 160 p – 34,90 euros
URBANISME Le chef bordelais a annoncé qu’il allait faire appel, après que le tribunal administratif a annulé le permis de construire déposé pour des travaux sur un immeuble des Chartrons
Une semaine après la décision du tribunal administratif de Bordeaux, d’annuler le permis de construire du nouveau projet de restauration du chef Philippe Etchebest dans le quartier des Chartrons, ce dernier a indiqué dans une interview à France 3 qu’il allait faire appel. « J’ai demandé à mon conseil de faire appel de la décision du tribunal administratif, qui j’en suis sûr n’avait visiblement pas tous les éléments en mains. Et, en attendant, les travaux sont arrêtés » a indiqué le chef étoilé, qui tient un autre établissement à Bordeaux, Le Quatrième Mur place de la Comédie.
Le tribunal administratif a décidé le 31 octobre d’annuler le permis de construire sur l’immeuble de la place des Chartrons, dans lequel Philippe Etchebest effectue des travaux depuis le début de l’année. La juridiction a estimé que « les plans joints font apparaître une toiture plate sur la partie arrière de la construction, alors que les photographies aériennes démontrent l’existence d’une pente. » En pleine zone protégée, c’est le genre de détail qui ne passe pas…
Selon Sud Ouest qui avait révélé l’affaire, le tribunal administratif a aussi estimé que « les travaux de démolition de la quasi-totalité de l’intérieur de la construction existante étaient non autorisés par le permis de construire » et ont d’ailleurs fait l’objet d’un PV d’infraction dressé par la mairie de Bordeaux.
« J’ai fait l’acquisition de cet immeuble avec mon épouse, et pour les travaux nous avons fait appel à un cabinet d’architectes réputé à Bordeaux, a rappelé Philippe Etchebest à France 3. Un permis de construire a été déposé et validé par la mairie. Suite à cela, un voisin a fait un recours, et ce monsieur m’a demandé de l’indemniser à cause de ces travaux ! (…) Je n’ai pas accepté, et on a fait les travaux. Il se trouve qu’à un moment donné, il y a eu des démolitions de faites, peut-être au-delà, mais des experts indépendants et l’entreprise Fayat ont estimé qu’il fallait faire ces travaux pour sécuriser le site. »
Le projet de Philippe Etchebest dans cet immeuble, prévoit selon lui « un restaurant gastronomique et une forme de restauration rapide accessible à tous », ainsi qu’une épicerie et terrasse privative sur le toit.
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